Christophe Rochus rejoint Padel Wallonie-Bruxelles

19 février 2025

Si son nom fait tout d’abord penser au tennis puisqu’il a été Top 40 mondial, Christophe Rochus est aussi connu dans le monde du padel, un sport qu’il a découvert il y a dix ans et au sein duquel il est très actif depuis.

C’est dire que son arrivée en tant que consultant sportif au sein de Padel Wallonie-Bruxelles constitue sans nul doute une formidable nouvelle. Il aura notamment pour missions de promouvoir le padel dans les clubs ; de les accompagner dans le processus de labellisation ; de créer le lien avec les écoles et de promouvoir le padel et les activités de la fédération de manière générale.

Christophe rejoindra en mars prochain le staff padel de TPPWB, un staff qui intégrera également un nouveau ou une nouvelle coordinateur/trice sportif/tive dont le recrutement est en cours et a rencontré un très large succès.

Question :Depuis combien de temps êtes-vous impliqué dans le padel ?
Christophe Rochus: Je suis impliqué dans le padel depuis presque dix ans. À l’époque, je me préparais à devenir professeur de golf professionnel, mais la formation ne s’est pas concrétisée. Un ami m’a alors proposé un projet autour du padel. Nous avons été parmi les premiers à développer des terrains en Belgique. Nous avons investi et construit nos propres infrastructures dans différents clubs.

Q : Vous pratiquez aussi le padel à un bon niveau, non?
C.R. : Oui, il y a sept ou huit ans, j’ai même participé à deux ou trois Championnats d’Europe ainsi qu’aux Championnats du monde. J’étais dans l’équipe nationale belge avec mon frère et Laurent Montoisy. C’était à une époque où le padel était encore assez peu connu.

Q : Pourquoi étiez-vous convaincu que le padel allait devenir un sport populaire ?
C.R. : Dès le début, j’ai vu en ce sport un immense potentiel : il est accessible, ludique, convivial et très facile à apprendre. Il possède toutes les qualités pour se développer. Je ne suis donc absolument pas surpris par le fait que le padel connait aujourd’hui une croissance fulgurante en Belgique. Et pour moi, ce n’est que le début, il va encore beaucoup se développer.

Q : Comment en êtes-vous venu à travailler pour Padel Wallonie-Bruxelles ?
C.R : Lorsque la Fédération m’a contacté pour ce poste, cela m’a intéressé car il correspondait à mes envies : continuer à travailler dans le padel, rencontrer des gens, développer des idées, faire avancer le sport. Ce poste de consultant sportif me permet qui plus est de le faire avec une certaine liberté, au gré des attentes et de la disponibilité des responsables de clubs notamment.

Q : Comment voyez-vous l’avenir du padel en Belgique et en Europe ?
R : Il y a encore un immense potentiel de développement. Au début, le padel était surtout pratiqué par des hommes de 40 à 60 ans. Ensuite, les femmes s’y sont mises. Maintenant, il faut entre autres travailler sur son développement chez les jeunes, notamment en introduisant le padel dans les écoles. Je pense que ce sport a tout pour devenir l’un des principaux en Belgique, en Europe, et même dans le monde. Et je me réjouis de faire partie de l’aventure.

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